Or, comme le compteur communicant Linky, le compteur de
gaz Gazpar
-- "communique" avec un concentrateur au moyen de
radiofréquences, donc contribue au brouillard électromagnétique dans le
logement et dans la ville
-- recueille et transmet nos données personnelles de
consommation, donc contribue à la logique du Big Data
- sera payé par les usagers à travers une taxe (tarif
d'acheminement du gaz naturel).
En outre, jeter des dizaines de millions de compteurs
solides et en état de marche, c'est à la fois un énorme gaspillage et une
atteinte inadmissible à l'environnement.
Nous n'avons
aucune obligation d'accepter les compteurs communicants chez nous.
Sachons faire valoir notre droit au refus en écrivant chacun une lettre de
refus à GRDF, en recommandé avec AR, puis en nous organisant avec nos quartiers
pour les refuser dans nos immeubles et nos quartiers.
Pourquoi ceux qui nous gouvernent cherchent-ils à nous
imposer des compteurs communicants d'électricité, de gaz et d'eau ? Parce
ce qu'ils sont indispensables au développement de la société connectée. Or la
multiplication des connexions est un moyen de nous rendre encore plus
dépendants de la technique et de la marchandise. C'est un modèle énergivore,
intrusif et contraire au principe de sobriété dont nous avons absolument besoin
pour freiner le réchauffement climatique.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire